Les politiques ont-ils encore la main en matière d’emploi ? Sont-ils les pantins des grandes entreprises et du monde de la finance ? L’emploi n’est-il plus, pour eux, qu’une source de promesses électorales ?
Dimanche, on doit voter et il est bon de s’interroger sur ce qui est encore le vrai pouvoir du politique sur les questions d’emploi.
Face à une économie qui s’est mondialisée, comment un leader politique peut-il encore influencer la création d’emplois sans se mettre à genoux devant les investisseurs ?
Les choix qui ont été posés en Belgique vont-ils dans le bon sens ?
On répond à la question dans la vidéo ci-dessous :
Depuis que le politique a pris à bras le corps le problème de l’emploi début 70, il n’y a jamais eu autant de chômage.C’est un chômage incessant, une crise sans fin, que le politique a créé en rigidifiant le marché du travail à cette période cruciale (chômage illimité, durcissement des licenciements, augmentation des taxes sur les travail etc.).
La plupart des politiciens n’ont que des connaissances très superficielles du monde du travail. La plupart n’ont jamais travaillé dans le privé. Ils ont toujours vécu au crochet de l’Etat. Ils ne comprennent pas comment l’économie fonctionne.
J’avais calculé à l’époque qu’Actiris à Bruxelles, c’est 240 Euro par an et par Bruxellois. Depuis que ce genre d’administration (du moins son ancêtre national) a vu le jour, le chômage n’a cessé de croitre. Au mieux ça n’a aucune incidence sur le marché de l’emploi, au pire les surtaxes que cela génère rendre artificiellement trop onéreux le cout duuu travail.