#25festivals : les tops et les flops du Pukkelpop
Après avoir enfin trouvé où était Charlie (dans la foule devant l’une des scènes) et après avoir passé trois jours… intenses au Pukkelpop, l’épuisée festivalière #25 se trouve face aux bilans à tirer. Ce festival, l’un des plus gros de Belgique, donne vraiment l’impression d’entrer dans un monde à part, une espèce de grand parc d’attraction complètement régressif, où il est non seulement possible d’écouter de la musique, mais aussi de se faire coiffer, de faire un tour en grande roue, ou encore de jouer au cowboy en montant sur un taureau mécanique à l’air mauvais, le tout avec en fond sonore l’electro entêtante venant de la Boiler Room, située non loin de là. L’ambiance est bon enfant et les chapiteaux ont fait le plein (à cause de la pluie? ), malgré les coups de vent parfois violents. L’incident du début de semaine n’était déjà plus dans les mémoires. Penser le contraire, ce serait oublier qu’en festival, c’est la vie qu’on fête.
Max la Menace le 17 août 2014 à 14 h 12 min
“Coup de vieux ?” Snoop Dogg est sur la scène musicale depuis plus longtemps que les QOTSA…
Permalien |Miel Delhaye le 17 août 2014 à 16 h 34 min
Oui c’est vrai. Il parait que Snoop Dogg était super a Pukkelpop? Pour ceux qui ont été cette année, c’était comment l’édition de Pukkelpop 2014 en général?
Permalien |A Rochus le 17 août 2014 à 15 h 03 min
…3 jours de festival, 15 lignes et un pass offert par le journal…On postule où Camille dis donc?…
Permalien |Le Soir le 17 août 2014 à 15 h 05 min
J’ai payé mon pass, ai campé trois jours dans la pluie comme tous les autres festivaliers et je n’avais pas accès à la salle presse. Ce n’est pas “15 lignes”, nous avons plusieurs pages culture du journal consacrées uniquement au Pukkelpop. Je vous invite également à visiter le blog du Soir Frontstage.
Bonne journée.
Camille
Permalien |Jean-Victor le 17 août 2014 à 15 h 21 min
Merci Camille! J’ai fait tout les pukkel de 92 à 2001. j’aimerais avoir le temps d’y retourner. Mais il manque une vague. Quelque chose de nouveau,jeune, naif et révolté. L’hédonisme me casse les .
Permalien |A Rochus le 17 août 2014 à 17 h 52 min
Je comprends l’esprit blog mais avoir comme tribune la page principale du quotidien belge le plus lu et produire un article aussi pauvre que celui-là ne rend pas service à la profession que nous essayons de maintenir à flot..Relisez votre compte-rendu d’ici quelques temps et posez-vous la question de ce que va vraiment retenir le lecteur de votre composition…Un seul artiste (vraiment?), la bouffe bobobio et une considération écologique chronique?..Allez, on peut faire mieux!
Bien à vous
Permalien |Le Soir le 18 août 2014 à 8 h 25 min
Ceci est un top et flop, forcément subjectif. J’ai écrit un nombre incalculable de signes sur les festivals cet été que je vous propose de relire.
Bien à vous.
Camille
Permalien |Michel le 17 août 2014 à 15 h 30 min
Coup de vieux ? Jusqu’il y a peu, j’allais à un festival ou deux par vacances et j’en revenais casse en 4, bien que n’etant reste qu’un jour ! Faut dire que j’ai 56 piges, hum ? Alors, tant qu’on peut : Long live, rock´n’roll (et vive le métal et les pogos d’enfer)……..
Permalien |Miguel le 17 août 2014 à 23 h 57 min
Dans les Flops, on peut aussi mettre le son de la “Boiler Room” qui pollue les 4 tentes : Castello, Marquee, Shelter et Dance Hall. L’organisation devrait peut-être réfléchir à l’écarter un peu des autres scènes.
A part ça, l’organisation du Pukkel est vraiment bien huilée, que ça soit sur le site du camping ou dans le festival.
Permalien |Pierre le 18 août 2014 à 19 h 34 min
Le son est mauvais partout! Qotsa, fink et portishead le son était horrible…. Trop de basses! Quel malheur à ce prix là….
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